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BIBLIOTHEQUE FNMF
Livres 2016
L'espace bibliothèque est ouvert tous les jeudi entre 12h00 et 14h00 au 255 rue de Vaugirard, Paris 15ème. Pour réserver un ouvrage, veuillez contacter Ana-Paula LEROY au 01 40 43 31 98
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Jours inquiets dans l'Ile Saint-Louis (VITOUX Frédéric - ref:643)
Un paisible avocat, veuf depuis longtemps, retiré dans l’Île Saint-Louis, enclave
villageoise au cœur de Paris, chargée d’histoire mais sans histoires, est témoin d’une
agression perpétrée en pleine rue par un inconnu. Ce fait divers fait irruption dans sa vie et le
bouleverse. Le suspect ne serait-il pas cet individu qui ne cesse de le poursuivre jusqu’à son
domicile, de le harceler pour lui extorquer de l’argent ? Au même moment, la présence d’une
jeune femme vient comme un antidote adoucir son cauchemar, égayer sa vie de célibataire
d’un dernier flirt sans illusions.
La paix reviendra-t-elle dans l’île que la colère des manifestants et des défilés
populaires, en cet automne 2010, ne semble pas inquiéter ?
On sort de ce roman intrigant, léger et profond à la fois, comme d’un film de Claude
Sautet.
Fairyland (ABBOTT Alysia - ref:644)
Là où Joan Baez a pris le micro dix ans plus tôt pour appeler à lutter contre la censure et en faveur de la liberté d'expression. Là où les représentants officiels de la Beat Generation – William Burroughs, Jack Kerouac, Allen Ginsberg, Lawrence Ferlinghetti, Neal Cassidy... – annoncèrent l'avènement de la révolution psychédélique. Steve Abbott découvre une ville en pleine effervescence dans laquelle la communauté gay se bat pour ses droits, il rejoint la scène littéraire de l'époque et fréquente cette génération de jeunes gens bien décidés à tout vivre, tout expérimenter. Commence pour le duo père-fille une vie de bohème, ponctuée de déménagements, de fêtes et de lectures de poésie à l'arrière des librairies. Alysia Abbott raconte son enfance alors que le virus du sida ronge peu à peu la ville.
L'homme à l'envers (VARGAS Fred - ref:645)
Le mardi, il y eut quatre brebis égorgées à Ventebrune, dans les Alpes. Et le jeudi, neuf à Pierrefort. Un loup solitaire ? Roué, cruel, avec son cul bas sur ses pattes grises ? La Bête du Mercantour. Mais au village de Saint-Victor-du-Mont, tous n'y croient pas, à la Bête. Ce n'est pas une Bête. C'est un homme. Un loup-garou. Elle était étendue dans la paille crottée, sur le dos, les bras écartés, la chemise de nuit remontée jusqu'aux genoux. A la gorge, une blessure avait laissé échapper un flot de sang. A Paris, devant son poste, Jean-Baptiste Adamsberg - le rêveur et " sylvestre " commissaire de L'Homme aux cercles bleus - guette les nouvelles du Mercantour. Il ferme les yeux. Son enfance pyrénéenne, la voix des vieux... Comme des tisons, mon gars, comme des tisons ça fait, les yeux du loup, la nuit.
Tu me manques (COBEN Harlan - ref:646)
Kat Donovan est flic à New York. Comme son père, comme son grand-père avant elle, presque comme une malédiction familiale.
Kat est jeune, plutôt mignonne, mais célibataire. Alors, quand la renversante Stacy, sa meilleure amie, l'inscrit sur un site de rencontres, Kat cède, se connecte, surfe... et tombe soudain sur Jeff, son premier amour. Celui qui l'a quittée sans un mot juste après le meurtre de son père, il y a dix-huit ans. Après un premier contact froid, étrange, le doute s'installe. Qui est-il vraiment ?
Au même moment, un adolescent vient lui faire des révélations troublantes. Des révélations qui télescopent les apparences, ébranlent les certitudes et font ressurgir un effroyable passé...
Vous n'aurez pas ma haine (LEIRIS Antoine - ref:647)
Antoine Leiris a perdu sa femme, Hélène Muyal-Leiris, le 13 novembre 2015, assassinée au Bataclan. Accablé par la perte, il n’a qu’une arme : sa plume.
À l’image de la lueur d’espoir et de douceur que fut sa lettre « Vous n’aurez pas ma haine », publiée au lendemain des attentats, il nous raconte ici comment,
malgré tout, la vie doit continuer.
C’est ce quotidien, meurtri mais tendre, entre un père et son fils, qu’il nous offre. Un témoignage bouleversant.
La maison des hautes falaises (VIGGERS Karen - ref:648)
Hanté par un passé douloureux, Lex Henderson part s'installer dans un petit village isolé, sur la côte australienne. Très vite, il tombe sous le charme de cet endroit sauvage, où les journées sont rythmées par le sac et le ressac de l'océan. Au loin, il aperçoit parfois des baleines. Majestueuses, elles le fascinent.
Peu de temps après son arrivée, sa route croise celle de Callista, artiste passionnée, elle aussi blessée par la vie. Attirés l'un par l'autre, ils ont pourtant du mal à se comprendre et à laisser libre cours à leurs sentiments. Parviendront-ils à oublier leurs passés respectifs pour guérir et faire de nouveau confiance à la vie ?
Dans la lignée de La Mémoire des embruns, ce roman en finesse est une véritable ode à la nature et à son admirable pouvoir de guérison.
Le dompteur de lions (LACKBERG Camilla - ref:649)
C'est le mois de janvier et un froid glacial s'est emparé de Fjällbacka. Une fille à demi nue, surgie de la forêt enneigée, est percutée par une voiture. Lorsque Patrik Hedström et ses collègues sont prévenus, la jeune fille a déjà été identifiée. Il s'agit de Victoria, portée disparue depuis quatre mois. Son corps présente des blessures qu'aucun accident ne saurait expliquer : ses orbites sont vides, sa langue est coupée et ses tympans percés. Quelqu'un en a fait une poupée humaine. D'autres cas de disparitions dans les environs font redouter que le bourreau n'en soit pas à sa première victime. De son côté, Erica Falck commence à exhumer une vieille affaire pour son nouveau bouquin. Une femme purge sa peine depuis plus de trente ans pour avoir tué son mari, un ancien dompteur de lions, qui maltraitait leur fille avec sa complicité passive. Mais Erica est persuadée que cette mère de famille porte un secret encore plus sombre. Jonglant entre ses recherches, une maison en perpétuel désordre et des jumeaux qui mettent le concept de l'amour inconditionnel à rude épreuve, elle est loin de se douter que pour certains, l'instinct maternel n'a rien de naturel... Avec ce neuvième volet de la série Fjällbacka, Camilla Läckberg signe un polar crépusculaire et violent. La reine du noir nordique s'y montre plus indomptable que jamais.
Congo requiem (GRANGE Jean-Christophe - ref:650)
Alors que Grégoire et Erwan traquent la vérité,jusqu'à Lontano, au coeur des ténèbres africaines, Loïc et Gaëlle affrontent un nouveau tueur à Florence et à Paris.

Sans le savoir, ils ont tous rendez-vous avec le même ennemi.L' Homme-Clou.
Brillance (DUPAYS Stéphanie - ref:651)
Claire est une trentenaire comblée. Diplômée d'une grande école, cadre marketting d'un groupe agroalimentaire, elle construit sa carrière avec talent. Dans son travail, elle a la confiance de ses supérieurs et gère des projets ambitieux. Sa vie privée est à l'avenant et le couple qu'elle forme avec Antonin, lui-même cadre dans la finance, renvoie l'image du bonheur parfait. Mais soudain, Claire vacille. Au travail, celle dont on louait les qualités se sent peu à peu évincée, des nouvelles recrues empiètent sur ses dossiers, sa supérieure hiérarchique lui tourne ostensiblement le dos. Après une phase de déni, Claire doit se rendre à l'évidence : c'est la disgrâce ! Elle est placardisée. La descente aux enfers commence...
J'aimais mieux quand c'était toi (OLMI Véronique - ref:652)
Nelly est comédienne de théâtre, sa journée est entièrement aimantée vers le rôle qu elle joue en soirée : la Mère de Six personnages en quête d auteur de Pirandello. Ce soir-là quand débute la représentation, elle reconnaît au cinquième rang l homme qui l a quittée quelques mois auparavant, qu elle aime toujours, et dont elle a refoulé jusqu au nom. Prise dans le vertige d une passion qui la broie à nouveau, l actrice en elle s affaisse et ne peut plus jouer.
Le fracas du temps (BARNES Julian - ref:653)
Il est difficile encore aujourd'hui de se représenter ce que pouvait être réellement la vie sous dictature communiste - en l'occurrence, ici, celle des artistes sous la férule stalinienne. Staline les surveillait de près : il fallait obéir, sinon... Un trait de plume du tyran vous condamnait à mort. Et quand un des plus grands musiciens de l'époque, jusque-là plutôt en faveur, découvre un matin dans La Pravda un article qui le démolit, il sait que ses jours sont comptés. Il s'agit de Dimitri Chostakovitch. On est en 1936. Et la question essentielle, cruciale, que pose ce nouveau roman de Julian Barnes, c'est : que fallait-il faire ? Et en corollaire, qu'est-ce que moi j'aurais fait ? Le fracas du temps est bien un roman - même si tous les faits sont avérés : les hallucinantes conversations avec Staline, les comparutions devant des " juges " qui ne savent même pas lire une partition... On a beaucoup critiqué Chostakovitch d'avoir cautionné le régime, d'avoir été un " collabo ". Mais on ne doit pas oublier qu'il risquait sa vie mais aussi celle de sa femme, celle de ses enfants et celle de sa mère ! Un romancier peut aller plus loin que l'historien dans l'exploration de l'âme d'un immense artiste, un être complexe, attachant, qui se débattait comme il pouvait dans le chaos de son époque, en essayant de ne pas renoncer à " sa " musique. Oui, que fallait-il faire ? Julian Barnes nous laisse trouver les réponses.
Roland est mort (ROBIN Nicolas - ref:654)
Roland est mort. Les sapeurs-pompiers l'ont retrouvé la tête dans la gamelle du chien. Ils viennent enlever le corps et se débarrassent du caniche en le confiant à son voisin de palier, un homme proche de la quarantaine, au chômage, très seul. Roland est mort depuis une semaine. Son voisin ne le connaissait pas vraiment, mais il aurait dû s'en douter : il n'entendait plus les chansons de Mireille Mathieu, derrière le mur. II écope du chien, puis de l'urne contenant les cendres du défunt. Que faire de ce lourd héritage chargé de poils et de céramique ? Le voisin va tout tenter pour s'en débarrasser, mais en a-t-il vraiment envie ? Ce livre est un ovni. La force des mots, l'immense sensibilité qui s'en dégage font qu'il laisse une trace et qu'on le quitte avec regret.
Jukebox Motel (GRAFFIN Tom - ref:655)
1967. Dans un bar de Los Angeles, Johnny Cash livre ses états d'âme à un inconnu. Le chanteur, pourtant au sommet de sa gloire, dit ne plus se reconnaître et rêver d'un endroit tranquille où il pourrait oublier « tout ce cirque ».
En face, l'inconnu se nomme Thomas James Shaper, jeune peintre underground qui vient de faire fortune et voit dans sa rencontre avec Cash le signe qu'il attendait.
Comme lui, il s'est éloigné de ses racines. Comme lui, il sent que le monde bascule dans un vaste cirque. Alors, autant se mettre immédiatement en quête de ce « diable d'endroit ». Peut-être pourra-t-il y retrouver lui aussi l'homme qu'il était ?
Ulysse (JOYCE James - ref:656)
Le 16 juin 1904, à Dublin. À partir des déambulations, élucubrations, rencontres et solitudes de trois personnages, Leopold Bloom, Stephen Dedalus et Molly Bloom, Joyce récrit l’Odyssée d’Homère. L’architecture d’Ulysse est un incroyable tissage de correspondances : le roman foisonne d’échos internes, de réminiscences, de choses vues et entendues, digérées et métamorphosées. En même temps que Proust, Joyce écrit le grand roman de la mémoire et de l’identité instable. Dans ce livre qui tient de l’encyclopédie et de la comédie humaine, l’auteur convoque tous les styles, tous les tons - y compris comique -, du monologue intérieur au dialogue théâtral. La lecture d’Ulysse est de ces expériences déterminantes qui changent notre perception du roman comme notre vision du monde
Voyage au centre de Paris (LACROIX Alexandre - ref:657)
Alors qu'il rentre en flânant chez lui, un homme raconte à la femme qu'il aime son Paris, celui qu'il a découvert au gré de ses balades. Il s'inspire d'auteurs célèbres et inconnus, convoque des souvenirs improbables - tels que ses expéditions dans les catacombes et sur les toits de la cité - et nous livre tous les secrets de la Ville Lumière, de l'origine des chaises des jardins du Luxembourg à l'arrestation des Templiers en passant par l'histoire de l'Inconnue de la Seine. Alexandre Lacroix nous offre, dans ce récit tant érudit qu'accessible, un Paris intime, éternel et fait de ce roman un singulier voyage amoureux.
Le principe de Pauline (VAN CAUWELAERT Didier - ref:658)
« Pauline a un grand principe, dans la vie : l’amour sert à construire une véritable amitié. Maxime et moi en sommes la démonstration vivante. Nous aurions pu nous contenter d’aimer la même femme, d’être des rivaux compréhensifs… Mais non. Maxime, pour appliquer le principe de Pauline, a voulu devenir mon protecteur. Et c’est ainsi qu’un voyou à la générosité catastrophique a pris en main le destin d’un romancier à problèmes... »
Maman à tort (BUSSI Michel - ref:659)
Rien n'est plus éphémère que la mémoire d'un enfant...
Quand Malone, du haut de ses trois ans et demi, affirme que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire, le croit.
Il est le seul. Il doit agir vite. Découvrir la vérité cachée. Trouver de l'aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car, déjà, les souvenirs de Malone s'effacent. Ils ne tiennent plus qu'à un fil. Le compte à rebours a commencé.
Qui est vraiment Malone ?
Ca peut pas rater (LEGARDINIER Gilles - ref:660)
– J'en ai ras le bol des mecs. J'en ai plus qu'assez de vos sales coups ! C'est votre tour de souffrir !
Et là, trempée, titubante, je prends une décision sur laquelle je jure de ne jamais revenir : je ne vais plus rien leur passer. On remet les compteurs à zéro. Je vais me venger de tout. Puisque aucun bonheur ne descendra d'un ciel illusoire, je suis prête à aller chercher le peu qui me revient jusqu'au fond des enfers.
La gentille Marie est morte. C'est la méchante Marie qui est aux commandes. Désormais, je renvoie les ascenseurs. Les chiens de ma chienne sont nés et il y en aura pour tout le monde. La vengeance est un plat qui se mange froid et je suis surgelée. La rage m'étouffe, la haine me consume.
Le géant enfoui (ISHIGURO Kazuo - ref:661)
ngleterre, haut Moyen Age. Dans un pays en proie à toutes sortes de superstitions vivent Axl et Beatrice. Leur amour a résisté aux années, mais leurs souvenirs sont aussi brumeux que les montagnes et les vallées qui les entourent. Ils décident de faire un voyage pour rejoindre leur fils qu'ils n'ont pas vu depuis des années. Des obstacles se dressent sur leur chemin, parfois étranges, parfois terrifiants. Sommes-nous les otages impuissants de notre mémoire ?
Mémé dans les orties (VALOGNES Aurélie - ref:662)
Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant –, s'ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Éviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d'escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie... jusqu'au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 93 ans forcent littéralement sa porte, et son cœur.
Un livre drôle et rafraîchissant, bon pour le moral, et une véritable cure de bonne humeur !
On en voyait que le bonheur (DELACOURT Grégoire - ref:663)
Antoine, la quarantaine, est expert en assurances. Depuis longtemps, trop longtemps, il estime, indemnise la vie des autres. Une nuit, il s'intéresse à la sienne, se demande ce qu’elle vaut vraiment. Par une introspection sans concession, il nous entraîne alors au cœur de notre propre humanité, lui qui ne s’est jamais remis de son enfance, ballotté entre faux bonheurs et réelles tragédies.
Orchestré en trois mouvements, du nord de la France à la côte ouest du Mexique, On ne voyait que le bonheur explore aussi le pays de l'adolescence. Et montre que le pardon et la rédemption restent possibles en dépit de tout.
Une putain d'histoire (MINIER Bernard - ref:664)
Hors des flots déchaînés, une main tendue vers le ciel. Un pont de bateau qui tangue, la pluie qui s'abat, et la nuit... Le début d'une " putain d'histoire ".
Une histoire d'amour et de peur, de bruit et de fureur. L'histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l'enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu'au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on.
Quand la peur gagne, la vérité s'y perd...
Emma (AUSTEN Jane - ref:665)
Le destin n'y est pour rien. Si les couples se font et se défont, dans le petit bourg de Highbury, c'est qu'Emma s'est improvisée des talents d'entremetteuse. Il est bien plus distrayant, pour une jeune femme accomplie, de s'immiscer dans les affaires matrimoniales des autres plutôt que de chercher mari. À moins de se retrouver prise malgré soi à son propre jeu...
Berezina (TESSON Sylvain - ref:666)
"Il y a deux siècles, des mecs rêvaient d'autre chose que du haut-débit. Ils étaient prêts à mourir pour voir scintiller les bulbes de Moscou". Tout commence en 2012 : Sylvain Tesson décide de commémorer à sa façon le bicentenaire de la retraite de Russie. Refaire avec ses amis le périple de la Grande Armée, en side-car ! De Moscou aux Invalides, plus de quatre mille kilomètres d'aventures attendent ces grognards contemporains.
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